[ A walk to have a break ] Pv Serena

Une belle fin de matinée ensoleillée , une température acceptable , une envie de prendre un bol d'air . Trois raisons suffisante , en plus des trois heures de routes que venait de se coltiner Wentley , pour profiter d'une marche dans un parc . La chance était au rendez-vous , puisqu'en cherchant une place pour se garer pas loin d'un restaurant , il aperçut un espace vert qui avait bonne allure . Il décida quand même de se remplir l'estomac avant , il aurait bien le temps de digérer en explorant la ville . Il comptait la visiter à pied . Ce qui sous-entendait par les toits . Mais ce n'était pas encore au programme . Il poussa donc la porte du restaurant , et commanda un bon steack-frites bien chargé . Il avait suffisament d'argent pour viser un plat au tarif plus élèvé , mais c'était au risque de ne pas pouvoir repartir , si cette histoire de " Hunter's " était du vent . Il avait en effet , dépensé plus de huix-cent cinquante dollars pour s'acheter un fusil à pompe correct , et une paire de colts et de magnums , ainsi qu'un fusil de précision acceptable . Et , ses économies censées passer dans ses études avaient servies a acheté un Hummer digne de ce nom . Si les Chasseurs existaient vraiment , Wentley allait en devenir un . C'était une motivation plus qu'un besoin d'argent . Il allait dévelloper ce don , et découvrir un autre univers . Quoi de plus palpitant ! ? .
Lorsqu'il sortit du restaurant , il était repus . Il allait pouvoir profiter de son après-midi , digérer en paix . Il retourna à sa voiture , ouvrit la portière avant . Il attrapa un magnum , vérifia le chargeur et son permis d'armes . Il rangea son arme dans son étui ( un holster ) , avec les papiers , à l'intérieur de sa veste . Il passa une main dans ses cheveux , reluquant son rétroviseur . Finalement il claqua la portière , et verouilla avec sa clée . Il retourna sur le trottoir , et s'avanca vers l'entrée du parc . Il jeta un oeil à travers les grillages , en prenant garde à ne pas bousculer les gens . Un grand lac s'étendait au centre , autour du quel s'amusait un paquet de gamin . Bateaux téléguidés , combat de batons , football américain ou non . Les parent sur les bancs , encourageant ces activitées extérieures au profit du temsp passé scotchés à leur écrans . Cela lui rappelait sa jeunesse .
L'entrée du parc , une grande grille en fer forgée , ornée d'un blason . Visiblement , cette ville était charmante . Il allongea le pas , lorsqu'il aperçut un jolie coin , innocupé , où il allait pouvoir faire une sieste . Mais le banc lui parut plus proche , il décida de s'y asseoir . Il posa un regard derrière lui , où les jeunes s'amusaient tranquillement .

- Ah , la jeunesse ...

Des souvenirs toujours des souvenir ! Un moment dans votre vie qui vous a toujours marqué. Pourquoi une image vous revenez si vous vouliez l’oublier ? Un élément provocateur ? Oui, c’était une belle journée, ayant mis des lentilles pour lui donner des yeux bleu foncés. Elle avait mit une somptueuse robe blanche avec des chaussures à talon, en portant un magasine avec les dernières thèses de médecine. Qu’avait-elle fait de sa nuit ? Se nourrir d’une commande quelle avait fait. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas bu une quantité si prenante. Une livraison à un hôpital sous un nom des médecins de cette ville, pour l’instant, elle ne devait pas trop passer connue. Pour l’instant.

Elle était vraiment rayonnante, portant une ombrelle avec elle, pour être comme même à l’ombre du soleil. On avait l’impression qu’elle sortait d’un livre, étant une femme de l’ancien temps, qui attendait que son homme revienne de la guerre. Mais aucun d’entre eux ne savait ce que c’était d’attendre, pendant qu’un homme partait, pourquoi elle avait cette image dans la tête ? C’est tout simplement parce qu’elle sentait une odeur d’acier, un acier utiliser par des porteurs d’armes, passant à côté d’un hummer. Son odorat lui disait, une odeur qu’elle avait connue si bien à sa mort, de celle de ses protégées.

Son odorat l’avait conduit à un endroit s’asseyant sur un banc, en face d’un jeune humain qui empestait l’odeur de ses tueurs qui était adoré depuis des siècles. Il dit une phrase sur la jeunesse, décidant un peu de se rapprocher, se levant pour s’asseoir à côté de lui. Ses sens en alerte, Serena serait prête à se déplacer ou à le tuer sur e moment s’il allait la tuer, ce qui n’était pas tellement possible.

■ Oui, une jeunesse qui peut prendre de mauvais choix plus tard, vraiment insensés ?

Elle faisait semblant de lire, à côté de lui. Comment dire ? Elle s’était déplacer vraiment rapidement des deux bancs, nul humain n’aurait pu voir, ce déplacement, s’étant installé tel un fantôme à côté de lui. Comment elle lui avait parlé, d’une douceur innée, d’une voix mélodieuse et ensorceleuse. Levant sa tête pour le regarder de ses yeux bleus, la vampire lui sourit. Un sourire forcé était non-voyant. Toute personne, à moins de lire dans ce qui était dans sa tête, ne pouvait pas lire dans ses pensées, comme c’était bête ?

Loyauté, égalité et liberté ?

Ces trois mots, les vampires ne pouvaient pas les avoir. Tout ça parce qu’il était classé sur les mêmes normes, de gens qui ne boivent que du sang, du sexe, de la liberté en étant traquée. Si on ne l’était pas maintenant, on le serait un jour, au fond qui était les méchants dans l’histoire ? Les vampires étaient un virus de l’humanité ? On était des êtres maudits, mais un jour, croyez moi ça changera. Elle vous donnera cette parole et pour ça n’importe quel allié serait la bienvenue ?

■ Excusez-moi j’ai vu votre hummer, je n’ai pas pu résister à venir vous parlez.

Serena s’approcha de lui pour lui murmurer quelque chose à l’oreille.

■ Alors on chasse ?